- Infections invasives récurrentes (pneumonies multiples, septicémie récurrente, abcès, méningite).1
- Infections causées par des pathogènes inusités ou opportunistes (PPJ).1
- Réponse limitée aux traitements antibiotiques prolongés ou multiples.1
- Diarrhée chronique avec ou sans signes de colite.1
- Absence chronique de gain de poids ou de croissance.2
- Lésions buccales (candidose) ou éruptions cutanées (pustules/nodules/plaques) persistantes (ou récurrentes), inhabituelles (atypiques) ou résistantes aux traitements.1
- Anomalies structurelles des cheveux (fil de fer, argentés), des ongles (dystrophiques) ou des dents (en pointes).2
- Taux faible des IgG sériques, lymphopénie, neutropénie thrombocytopénie chronique.1
- Absence de ganglions ou d’amygdales ou agrandissement chronique du tissu lymphoïde.1
- Antécédents familiaux d’immunodéficience primaire, d’auto-immunité ou de leucémie/lymphome.1
Références : ¹ Tous les groups d’âge ² Petite enfance et l’enfance
Il existe plus de 250 maladie et défauts génétiques du système immunitaire qui sont reconnus comme des formes d’immunodéficience primaire. Une personne sur 1 200 est touchée par cette maladie et un diagnostic et un traitement précoces sont essentiels pour sauver des vies. Le traitement peut soigner ou prévenir des lésions aux organes à long terme. Chaque signe d’alarme devrait alerter les fournisseurs de soins de santé qu’il pourrait s’agir d’immunodéficience primaire et que des examens et des tests plus poussés sont nécessaires.
Deux signes d’alarme ou plus devraient déclencher une consultation en urgence avec un immunologue.
Écrit et approuvé par le directeur scientifique et le Conseil consultatif médical © 2014 Immunodéficience Canada